Mélodie Fondard - Mémoire de fin d'étude
Claude Cattelain,
Effacer ou laisser sa trace
Plan :
Introduction..................................................................................................................3
I- La performance, le corps comme outil dans un espace-temps particulier........4
1.a Ici et Maintenant, une œuvre temporaire à huis clos....................................5
2.b Ouvrir une réflexion poétique sur la nature humaine...................................6
II- La projection-installation propose un dialogue avec l'artiste et l'objet...........7
2.a l'installation comme objet tangible..............................................................8
2.b La projection, mise à distance de l'artiste.....................................................9
Conclusion...................................................................................................................11
Sources documentaires................................................................................................12
Annexe iconographique......….....................................................................................14
L'artiste contemporain belge Claude Cattelain, né en 1972, se définit lui-même comme un performer. Si sa formation l'oriente vers l'image et l'illustration, il se tourne ensuite vers une variété de supports pour ses créations personnelles de 2004 à 2018. Claude Cattelain est présent dans les collections du Centre National des Arts Plastiques ou le Fond Régional d'Art Contemporain du Languedoc-Rousillon .
Parmi ses œuvres, il distingue clairement la performance de l'art vidéo et des installations. Qu'est ce qui fonde la différence entre ces supports ? Partagent 'ils des objectifs communs ? L'art de la vidéo, nommée projection est un support particulièrement utilisé au XXIème siècle grâce à la technologie numérique. L'artiste propose donc un art multimédia, c'est-à dire à la fois une variété de médium, une pluridisciplinarité, et un art qui utilise les nouvelles technologies.
Cette production multimédia, ambition de l'époque contemporaine, lui permet d'établir un jeu poétique sur l'éphémère et le permanent en art.
Nous pouvons nous interroger sur les enjeux de la performance, programme élaboré au XXème siècle, comme le soulignent les articles dédiés au travail de l'artiste et catalogues d'exposition . En parallèle il s'agit d'étudier la vidéo et l'installation d'objets en s'appuyant sur l'oeuvre de Pascale Weber, Le corps à l'épreuve de l'installation-projection.
I- La performance, le corps comme outil dans un espace-temps particulier
Pour comprendre l'état d'esprit particulier de cet art il faut évoquer les origines de la performance, et tenter de définir ce comportement qui peut apparaître obscur pour un public non initié.
Si l'on s'attarde sur le mot et ses significations littérales performer c'est d'abord faire preuve d'efficacité, avoir des prédispositions particulères comme en témoignent les spectaculaires interventions de Marina Abramovic[1], mettant en danger sa vie à travers un corps soumis à des mutilations. C'est bien le corps l'enjeu principal de la performance, l'artiste endoce le rôle d'un surhomme qui supporte un environnement ou des évènements, à la manière d'un athlète.
Le Centre George Pompidou souligne, d'autre part la complexité de proposer une définition complète de la performance dans un dossier pédagogique sur la question. On peut relever que cette production est largement tributaire de l'interdisciplinarité, de l'action painting des expressionistes abstraits américains, de la musique-performance de John Cage et son célèbre 4'33.[2]
Ensuite, le caractère libre et en constant renouvellement de la pratique est une composante de la performance. Enfin et surtout la performance est éphémère, l'action s'inscrit dans un temps et un espace unique.
Dans ses performances l'artiste fait preuve d'une grande simplicité de moyens et de gestes, cela lui permet d'être lisible et de communiquer un esthétique particulier. Nous allons nous intéresser à l'espace unique qu'il crée pendant sa production.
C'est surtout dans le mouvement Fluxus qu'on peut voir l'influence sur Claude Cattelain pour le caractère sonore de l'oeuvre et pour une mise en scène épurée[3]. Fluxus des années 60. Par exemple George Brecht, un membre du courant Fluxus réalise entre 1959 et 1961 une performance musicale nommée « Drip Music »[4].
Il utilise simplement l'échelle, le récipient et l'arrosoir qu'il amène lui-même sur scène. Le caractère incongru de la situation porte à l'humour mais aussi à la réflexion.
1 a. L'artiste Claude Cattelain suggère une temporalité particulière, l' « ici et maintenant » par une scène unique même si reconduisible, en effet les performances sont destinées à être rejouées devant un public nouveau.
Pour construire son espace, il a à disposition son propre corps, c'est donc un art vivant. Pour imprégner le spectateur de l'ambiance de sa création, le performer s'isole avec un public dans une pièce, de dimension variable, la scène en quelque sorte a lieu à huis clos.
Le spectateur a conscience de sa position particulière, il expérimente l'oeuvre en temps réel, et retient son souffle. Ce silence attentif est palpable dans les retransmissions de la performance Colonne Empirique en ligne réalisée pour la première fois à Valenciennes en 2008, reconduite jusqu'en 2017[5]. La durée de la performance est d'environ 45 minutes. [6]Le titre interpelle, la spécificité d'une colonne est d'être un temps architectural vertical. On trouve l'artiste debout sur une ligne de blocs de pierre égaux. La verticalité est présente grâce au travail progressif de Claude Cattelain, on passe d'un plan horizontal à un plan vertical instable au cours du temps. C'est une œuvre progressive, d'abord le performer se place debout sur le deuxième rang de bloc et empile le premier bloc sur le suivant, il repète ce mouvement et tient en équilibre sur les blocs mais la colonne grandit à chaque bloc, il est de plus en plus difficile d'ajouter des blocs, jusqu'à la chute inévitable. L'artiste doit faire preuve d'ingénusité et s'adapter costamment, à genoux, contorsionné, le seul bruit qui ponctue la scène est le bruit du bloc qui résonne, massif et clair dans l'espace. Dans une interview de 2014, au Saintabury Center of Visual Art l'artiste marque l'importance du silence, ponctué par la poussière des blocs de pierre, un silence qui rend l'effort et la concentration palpable.[7]
En effet, on peut lire cette action comme une ligne musicale, la ligne de base étant le silence et les élements verticaux des ponctuations, le volume.
Dès le commencement, on sait que l'architecture humaine élaborée arrivera à son point de rupture tôt ou tard, sous nos yeux. Il décrit d'ailleurs le procédé en ces termes « sans poser les pieds au sol, ma progression se complique sur cette colonne de plus en plus haute et instable. ».[8] Claude Cattelain met en scène l'éphémère en évoquant plusieurs impressions, sonores, corporelles, spatiales, créant un temps suspendu par l'attention du public. A ces impressions correspondent un support comme l'architecture, la musique, le théâtre.
C'est l'action pure, qui paraît spontannée au spectateur.Toujours dans cette interview de 2014 au Sainsbury Center for Visual Arts, à l'occasion de Colonne empirique en ligne, il précise que cette œuvre perdrait tout son sens si elle était retransmise en vidéo[9], la performance implique nécessairement une confrontation directe de l'artiste et du spectateur, dans une optique différente de l'art de la projection. Cela voudrait dire que c'est la présence de l'artiste et l'éphémère qui donne sa valeur à l'oeuvre.
1 b. Plus particulèrement, la performance fait un état des lieux de l'attention du public, au cours du temps. C'est le cas de l'oeuvre de Claude Cattelain nommée Armature variable dont l'élaboration date de 2004. L'artiste caractérise ce processus en disant « Elever inlassablement une structure volontairement instable qui se transforme au gré de ses effondrements et de mes reconstructions »[10]. Il indique aussi le temps de réalisation qui peut aller de 3 heures à 35 heures. La performance ne se quantifie donc pas en hauteur, largeur et longueur contrairement à la sculpture et la peinture. Le temps est l'unité de mesure de cet art, ce qui en fait un point commun avec l'art vidéo. Le temps, notion particulièrement abstraite, est paradoxalement ce qui inscrit la performance dans la réalité. Par exemple Claude Cattelain a performé trois heures au centre d'art de Toulouse mais 35 heures au Palais de Tokyo en 2012. Le rendu est beaucoup plus complexe si l'artiste passe du temps à reconstruire ces ruines, comme en témoignent les photographies des performances. [11]
Après 35 heures d'effondrements, la forme obtenue évoque une véritable structure, un réseau de lignes presque cohérent. C'est élever une sculpture éphémère à partir de presque rien. L'artiste utilise de simples planches de bois, de longueur et essence différentes. La forme obtenue est fragile, en suspens et vouée à disparaître.
Claude Cattelain propose donc une réflexion sur le travail de l'Homme, toujours vain et répétitif.
Conformément à ce qu'écrit Gérard Wajcman dans son essai « L'objet du siècle »en 2012 les ruines jouent un rôle fondamentale dans l'imaginaire du XXème et XXI ème siècle, les ruines physiques provoquées par les guerres successives et la ruine morale de l'individu comme en témoigne la philosophie tourmentée nihiliste ou de l'Absurde[12].
La destruction serait donc un des thèmes de prédilection de l'art contemporain, et la performance de Claude Cattelain met en mouvement ce concept. L'artiste dans cette mise en scène devient l'Homme en lutte avec son environnement. Le voir démuni face à l'écroulement de sa structure est visuellement frappant, les liens culturels sont multiples comme le théâtre de Samuel Beckett avec la figure d'un Sisyphe moderne, conscient du caractère inéluctable de sa destinée. Joanna Fiduccia affirme « Tels Beckett et Bruce Nauman avant lui, Cattelain met le corps au service d'ambitions futiles ou d'entreprises absurdes. ».[13]
Les performances de Claude Cattelain sont des protocoles, c'est-à-dire un programme répétitif, et pourtant elles sont uniques. Ce médium fait appel à plusieurs disciplines parmi lesquelles l'art du corps tient une place prédominante, [14] une œuvre de synthèse donc simple et éphémère. Le corps est le médium artistique, telle une marionnette articulée.Cette répétition du geste quasi invocatoire se retrouve aussi dans des œuvres projetées ou des installations.[15]
II- La projection-installation, dialogue avec l'artiste et l'objet
La projection et l'installation peuvent être vues comme deux traces laissées volontairement par l'artiste en miroir de ses performances, cela n'exclut pas les spécificités de ses supports. Selon Yoann Van Parys, les supports présentent un objectif commun.« Le jeune artiste belge Claude Cattelain développe un travail de type performatif qu'il transmet au moyen de la vidéo et dans une moindre mesure du dessin, tout en explorant les modes d'interaction existant entre ces différents médias. » [16] Ce sont des arts vivants.
Parmi les précurseurs de l'installation, l'artiste Lygia Clark développe dans les années 70 des objets performatifs, il s'agit d'un nouveau concept qui vise à rendre l'objet artistique moins passif, les créations sont laissées pour être manipulées par le public, provoquant ainsi une expérience biologique et social sur le corps, toujours au centre des préoccupations[17] . Cette expérimentation de Lygia Clark, qui a eu une très grande postérité, est liée au concept d' installation. Le point commun est le dynamisme de l'art et l'apropriation du visiteur.
Pour opérer ce rapprochement stratégique avec le public, l'humour est particulièrement efficace, Claude Cattelain réalise des œuvres in situ assez encombrantes pour le spectateur, en leur barrant la route, comme pour Composition empirique in situ de la villa Arson en 2017[18]
Toujours dans cette optique de provoquer le spectateur, Marcel Duchamp expérimente un nouvel objet artistique, qui dépasserait les cloisons mentales dans lesquelles on enferme une œuvre d'art avec les « ready-made ». Les artistes performer font d'ailleurs souvent référence au projet de Duchamp pour élargir la définition de ce qu' est l'art.[19] Il faut éviter de classer les œuvres en catégories distinctes en fonction d'un support unique et essayer de voir l'enjeu de l'art dans sa globalité. Pour cela les installations jouent un rôle important.
Nous pouvons tenter de définir l'installation en tant mise en scène de la production d'un artiste qui vise à donner un statut actif au spectateur, proposer des interactions.[20]
2.a L'installation est vue par Claude Cattelain comme une trace de son passage[21] .
La trace c'est la touche de l'artiste, sa signature, c'est un point commun à plusieurs médiums, l'imaginaire montre une vision originelle de la trace, intemporelle et éphémère. L'artiste sait jouer des termes et des illusions qu'ils procurent. L'installation est une œuvre ici hétérogène et éphémère, comme en témoignent les mentions accolées aux notices « œuvres disparues »[22]. Parmi les installations de l'artiste, une série d'armatures sont réalisées dans des lieux divers, parfois in situ, parfois déplaçables et souvent détruites. On remarque Armature B de 2005. On peut parler véritablement d'objets ici, l'oeuvre est tangible, matérielle contrairement à la performance ou l'art vidéo. L'artiste la qualifie de sulpture, faite de bois, carton et adhésif. Elle mesure 2 mètres de haut par 1,10 mètre de largeur et profondeur. L'aspect est globalement celui d'un cône déstructuré, avce des additions de tiges de bois courbes, tordus par le ruban adhésif. Cet assemblage de fagots évoque les barbelets de fer, ils viennent enrouler l'oeuvre, la main de l'artiste a rafistolé des bouts d'oeuvre ensemble.
De même, les traces des performances de Claude Cattelain sont parfois conservées par les institutions, on peut comparer le visuel de ces traces et celui des armatures réalisées, en effet il utilise des matériaux similaires pour ses performances et ses installations, ce sont toujours du bois, de 'adhésif, des pierres, du sable que l'on retrouve filmés avec l'artiste, ces matériaux sobres et faciles d'accès donnent une cohérence à son travail, un objet permanent auquel se raccrocher[23]. L'aspect fragile et chiche du travail peut amuser le spectateur.
On joue au spectateur, le concept est ludique, l'objet devient un espace où on recherche l'artiste. L'oeuvre est aujourd'hui portée disparue, conformément à son apparence précaire.
Les photographies permettent de concilier l'oeuvre, les installations et les performances de l'artiste, ce qui nous amène à l'art multimédia de Claude Cattelain.
2.b Les vidéos de Claude Cattelain sont visuellement liées à ses performances, c'est un programme simple, répétitif, chargé de symboles. Elles sont figuratives. La projection est importante pour étudier le lien créé avec le spectateur, les premières réactions et leur évolution : l'étonnement, l'incrédulité, le rejet face à une scène inutile, puis l'humour que produit ce décalage et enfin la recherche, pour recréer un dialogue avec cet artiste absent et cette œuvre pourtant immatérielle.
Paradoxalement, Pascale Weber met en évidence l'importance du corps dans l'art de la projection[24] , il est fantomatique et fascinant. From Sand to Dust projection de 2011 incarne ce face à face, la projection murale donne un effet de frontalité, on voit un homme qui marche dans le sable, progressivement ses pas l'enfonce dans la matière. La vidéo dure 3 minutes et 47 secondes.[25]
Les limites sont un concept clefs de la performance et video artistique . On peut évoquer les limites du corps du performer, de son environnement, et peut-être les limites de la réception du public. En effet de tels supports isolent le spectateur. L'artiste doit produire une œuvre en prévision de la réception, pendant ce décalage se crée la vidéo, il effectue des prises, le montage.
Le rituel que l'artiste installe dans ses performances et ses vidéos est essentiel pour comprendre la portée de ses propositions, le rituel est ce qui rassure dans un environnement inconnu, il est social et, on peut le supposer, universel, c'est ce que semble penser Nathalie Desmet dans son article de 2017 intitulé « l'Instant avant la chute » dans la revue dématérialisée Portraits, elle précise « Dans les sociétés traditionnelles, les rituels servent aussi à créer et maintenir l’ordre du monde » [26]
Les gestes sont familiers pour le spectateur, marcher est un élément instinctif commun.
Tout comme l'installation, la projection témoigne à l'origine d'une nouvelle vision de la muséographie ou plutôt d'un rejet de l'exposistion traditionnelle, elle est profondément liée à l'architecture.[27] Elle force le visiteur à remettre en question l'objet artistique et son immédiateté.
D'autre part, dans ses vidéos, l'artiste propose des images « voyageuse, fugitive, évanescente et immatérielle » dans toute leur dimension métaphorique.[28] .On peut faire un lien avec sa formation en peinture et illustration.
Dès lors, le spectateur a tout à fait conscience d'être face à une projection, une conception géométrique et virtuelle de l'espace, de caractère éléctrique, il peut délimiter le cadre flottant sur la paroi. Il voit une image construite et peut mesurer la distance qui existe entre la réalité et ce qui est représenté. [29]
Il n'y a pas vraiment de volonté d'illusion ici de la part de l'artiste, il ne s'agit pas de faire croire, par l'immersion en taille réel ou des installations sonores, que le visiteur est en face de l'artiste. Malgré cela, le corps est imaginé, comme face à un dessin. Ce support est d'ailleurs aussi utilisé dans les œuvres récentes de l'artiste.
Cette réflexion et prise de distance est possible grâce à l'art multimédia, l'image est omniprésente dans notre société contemporaine, elle est aussi un moyen d'exister pour les artistes, et peut-être de nous donner un espace virtuel bienveillant, sans but commercial contrairement aux images quotidiennes[30]. En effet la vidéo nous montre quelque chose qui n'existe plus.
Il faut noter que la vidéo n'est pas une invention du XXIeme siècle mais héritée des chronophotographies d'Etienne Jules Marey et l'invention de la pellicule en 1889. La spécificité dans l'art contemporain est la facilité avec laquelle on peut lire et surtout créer un support vidéo, grâce à la technologie numérique, à la miniaturisation du support il peut aussi être stocké et réutilisé.
Finalement, on constate l'absence de l'artiste, ce manque est comblé par l'animation de la projection. On recrée intellectuellement la figure de l'homme, de façon dématérialisée.
Par la projection, on met à distance le destinataire du créateur, cela nous incite à s'intéresser à la démarche, les conditions de réalisation et à retrouver un homme derrière la métaphore.
Le caractère répétitif du processus de la performance apporte une poèsie contemporaine, assez angoissée et toujours en recherche de communication, par l' attachement, l' humour. La performance s'inscrit dans un réseau de références hérité du XXeme siècle concernant les ruines, la nature humaine.
Paradoxalement, la projection devient le support le plus permanent et durable, face à la performance et à l'installation. De façon habile, la performance donne une impression de véracité, de montrer le réel, alors que l'action est le produit d' une mise en scène. Malgré la présence physique de l'artiste, le corps est insaisissable, il n'y a pas de réelle communication outre la bienveillance du public et l'attente de la chute. En revanche c'est par la vidéo et l'installation, deux objets que l'artiste rétablit un fil rompu, par l'imagination du spectateur , qui peut recoller les morceaux en suivant une réflexion sur la virtualité du support.
Comme l'affirme Louis Doucet, les projections présentées sont des condensés technologiques de support, de performance, de symboles.
La simplicité peut-être a une place privilégiée dans l'art contemporain, particulièrement codée l'enjeu est de superposer plusieurs messages complexes sans perdre en spontanéité.
Sources documentaires :
Sources dématérialisées :
Articles :
Desmet Nathalie, « Claude Cattelain, l'instant avant la chute » octobre 2017, revue dématérialisée Portraits http://www.portraits-lagalerie.fr/?Claude-Cattelain-l-instant-avant-la-chute consulté le 13/01/18
Catalogues :
Berger Mélanie, Claude Cattelain 2003-2013, Edition Calais 2015, consulté le 20/01/18
Forest Barbara, « Bis repeta placent » 2003/2004, Cap Calaisis, mars 2014
http://www.claudecattelain.com/cc_infos_texts_barbara_forest.html consulté le 16/01/18
Fiduccia Johanna, Coquilles mécaniques, CRAC Alsace, 2012
http://www.claudecattelain.com/cc_infos_texts_joanna_fiduccia.html consulté le 16/01/18
Ghaddab Karim, « Parce qu'il faut que je fasse quelque chose », exposition Step by Step, Galerie l'H du siège, septembre 2017 http://www.claudecattelain.com/cc_infos_texts_karim_ghaddab.html consulté le 20/01/18
Van Parys Yoann, « Le modèle a bougé » 09/2011 Beaux Arts Mons http://www.claudecattelain.com/cc_infos_texts_yoann_van_parys.html consulté le 22/01/18
Sites :
Claude Cattelain, http://www.claudecattelain.com/index.html consulté le 13/01/18
Mayen Gérard Qu'est ce que la performance ? Dossier pédagogique, Centre George Pompidou, 2011 http://mediation.centrepompidou.fr/education/ressources/ENS-Performance/ consulté le 15/01/18
Vidéos et interviews :
Fluxconcert, « Drip Music » by George Brecht 1959/61, vidéo fev. 2009 https://youtu.be/oGIlPBgUg9U consulté le 19/01/18
Mathiew Robinson, « 2014 - Artist Claude Cattelain's performance, as part of the Monument exhibition at the Sainsbury Centre for Visual Arts » vidéo nov.2017 https://youtu.be/BpLzAvG_hJQ consulté le 21/01/18
Bibliographie :
Coêllier Sylvie, Lygia Clark, La fin de la modernité et le désir du contact, Paris L'Harmattan, 2003
Wajcman Gérard, L'objet du siècle,Verdier, 2012
Walker John A., Art in the age of mass media, London Pluto Press, 1994
Weber Pascale, Le corps à l'épreuve de l'installation-projection, L'Harmattan, 2003
[1] Mayen Gérard Qu'est ce que la performance ? Dossier pédagogique, Centre George Pompidou, 2011 « aux risques du corps » rubrique « ébranler les codes »
[2] Mayen Gérard Qu'est ce que la performance ? Dossier pédagogique, Centre George Pompidou, 2011 « A l'origine, les arts visuels »
[3] Mayen Gérard Qu'est ce que la performance ? Dossier pédagogique, Centre George Pompidou, 2011 « Les happening et Fluxus »
[4] Fluxconcert, « Drip Music » by George Brecht 1959/61, vidéo fev. 2009
[5] Mathiew Robinson, « 2014 - Artist Claude Cattelain's performance, as part of the Monument exhibition at the Sainsbury Centre for Visual Arts » vidéo nov.2017
[6] Caude Cattelain, site, rubrique « performances »
[7] Mathiew Robinson, « 2014 - Artist Claude Cattelain's performance, as part of the Monument exhibition at the Sainsbury Centre for Visual Arts » vidéo nov.2017
[8] Caude Cattelain, site, rubrique « performances »
[9] Mathiew Robinson, « 2014 - Artist Claude Cattelain's performance, as part of the Monument exhibition at the Sainsbury Centre for Visual Arts » vidéo nov.2017
[10] Caude Cattelain, site, rubrique « performances »
[11]Caude Cattelain, site, rubrique « performances »
[12] Wajcman Gérard, L'objet du siècle,Verdier, 2012 p.11 et 12
[13] Fiduccia Johanna, Coquilles mécaniques, catalogue d'exposition, CRAC Alsace, 2012
[14] Ghaddab Karim, « Parce qu'il faut que je fasse quelque chose », exposition Step by Step, Galerie l'H du siège, septembre 2017
[15] Desmet Nathalie, « Claude Cattelain, l'instant avant la chute » octobre 2017, revue dématérialisée Portraits
[16] Van ParysYoann, « Le modèle a bougé » 09/2011 Beaux Arts Mons
[17]Coêllier Sylvie, Lygia Clark, La fin de la modernité et le désir du contact, Paris L'Harmattan, 2003 p.
[18]Caude Cattelain, site, rubrique « traces »
[19] Mayen Gérard Qu'est ce que la performance ? Dossier pédagogique, Centre George Pompidou, 2011 « A l'origine, les arts visuels »
[20] Mayen Gérard Qu'est ce que la performance ? Dossier pédagogique, Centre George Pompidou, 2011 « L'installation »
[21]Caude Cattelain, site, rubrique « traces »
[22] Caude Cattelain, site, rubrique « traces »
[23] Ghaddab Karim, « Parce qu'il faut que je fasse quelque chose », exposition Step by Step, Galerie l'H du siège, septembre 2017
[24] Weber Pascale, Le corps à l'épreuve de l'installation-projection, L'Harmattan, 2003 p.12
[25] Caude Cattelain, site, rubrique « traces »
[26]Desmet Nathalie, « Claude Cattelain, l'instant avant la chute » octobre 2017, revue dématérialisée Portraits
[27] Weber Pascale, Le corps à l'épreuve de l'installation-projection, L'Harmattan, 2003 p.38 39
[28] Weber Pascale, Le corps à l'épreuve de l'installation-projection, L'Harmattan, 2003 p.18
[29] Weber Pascale, Le corps à l'épreuve de l'installation-projection, L'Harmattan, 2003 p.18
[30] Walker John A., Art in the age of mass media, London Pluto Press, 1994 p. 9